Silencio
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Silencio, technique mixte (pochoir, aérosol, carton, bois, résine) cadre en bois peint blanc, 60x60cm, 1/1 (ref Jef Aérosol et Invader)

Silencio

Fred Garnier

Technique mixte (pochoir, bombe aérosol, carton, bois, résine)

60cm x 60cm x 5cm

Pièce unique

2200,00

Le travail plastique de Fred Garnier puise ses inspirations à la fois dans le monde de l'enfance, avec ses jeux de mots, ses sens cachés, mais également dans notre monde contemporain d'adultes et tous ses paradoxes. La série "les façades" est une proposition qui lie ses deux mondes. Le fond de la série en cours aborde la question du réchauffement climatique, au travers de façades de bâtiments, le plus souvent existants, sur lesquels viennent prendre vie des scènes de rencontres de personnages miniatures. Leur dialogue se fait devant une création d'art urbain, signifiante, abordable et identifiable de tous. Ces bâtiments, ces créations urbaines magnifient des bâtiments usés par le temps, immergés par cette montée des eaux. Sorte d'espace de survie, de refuge pour ces figurines, jouets de notre société contemporaine. Ces scènes sont à la fois enfantines, sérieuses et posent plus largement la question de notre difficulté d'adulte à garder une âme d'enfant où le monde est beau et où tout est encore possible".

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À propos de l'artiste

Portrait

Fred Garnier

Révélé au Salon de Montrouge en 2006, Frédéric Garnier est né en 1970 à Troyes où il vit actuellement. Toutes ses créations réellement protéiformes mettent en scène nos
interrogations sur l’existence humaine. Son début et son terme. Son sens. Ce que l’on nomme communément « l’Après ». Puis ce qui nous survit voit le jour, prend place dans les mémoires, les « traces » de vie. Sa réflexion plastique se construit dans des travaux
d’installation, dans lesquels la photo complète le son et la vidéo. L’objet est le plus souvent le point de départ, il est exposé, détruit, modifié, pour positionner le spectateur dans un espace à échelle humaine.

Le travail plastique de Fred Garnier puise ses inspirations à la fois dans le monde de l’enfance, avec ses jeux de mots, ses sens cachés, mais également dans notre monde contemporain d’adultes et tous ses paradoxes.

La série « les façades » est une proposition qui lie ses deux mondes. Le fond de la série en cours aborde la question du réchauffement climatique, au travers de façades de bâtiments, le plus souvent existants (on retrouve ainsi des oeuvres de Ernest Pignon Ernest, Jef Aérosol, Banksy, Space Invader etc), sur lesquels viennent prendre vie des scènes de rencontres de personnages miniatures. Leur dialogue se fait devant une création d’art urbain, signifiante, abordable et identifiable de tous.

Ces bâtiments, ces créations urbaines magnifient des bâtiments usés par le temps, immergés par cette montée des eaux. Sorte d’espace de survie, de refuge pour ces figurines, jouets de notre société contemporaine.

Ces scènes sont à la fois enfantines, sérieuses et posent plus largement la question de notre difficulté d’adulte à garder une âme d’enfant où le monde est beau et où tout est encore possible ».

La démarche de cette série est de recontextualiser des œuvres du street art à la lecture de notre réalité climatique. Chaque pièce est un « paysage urbain », photo d’un moment, d’un espace de rue qui nous appelle à la réflexion face à la montée des eaux. IL ne s’agit pas de « copier » une œuvre existante. L’idée est de s’appuyer sur cette œuvre urbaine signifiante pour permettre le dialogue avec les personnages miniatures posés en écho. Deux mondes se rencontrent, échangent en espérant se sauver lui même.

Les pièces urbaines sont par définition, « offertes » au monde. Elles sont vouées à disparaître, à la différence des pièces de musée.

Cette série, « façades » figent dans le temps et l’espace ces œuvres, dans le contexte urbain miniaturisé, à l’échelle de ce qu’est l’Homme dans le Monde.

Chaque artiste urbain représenté dans cette série est nommé sur les pièces dans une trace écrite et signalé au dos des pièces.